La plupart des familles ayant un ou plusieurs enfants victimes de la dioxine, sont pauvres, en plus un des parents doit parfois cesser de travailler pour s'occuper d'eux.
Pour ces familles, c'est la survie quotidienne.
L’argent du parrainage permet à ces familles de souffler, de ne plus être obnubilées par la hantise du lendemain.
L’enfant peut, la cas échéant, bénéficier de soins ou d’une opération chirurgicale. S’il peut étudier, apprendre un métier, il est encouragé à le faire.
- 5 enfants victimes de la dioxine ont pu être parrainés depuis la Belgique (en collaboration avec l’association Vietnam, Enfants de la Dioxine).
- Depuis 2008, Truong Son parraine Nguyen Van Trung, un enfant atteint de cécité via la VAVA de Dong Nai